Plus de quinze ans après la première loi sur la fin de vie, nombre de nos concitoyens sont encore contraints d’aller à l’étranger pour trouver ce que notre République se refuse à leur offrir : choisir une fin de vie digne.
Dans les premiers mois de la mandature, nous proposerons une nouvelle loi reposant sur trois principes :
- le respect absolu de la volonté du patient grâce à la mise en place effective de directives anticipées;
- l’accompagnement « avec humanité » dans les derniers instants par la garantie d’un accès réellement universel à des soins palliatifs humains, de qualité, sur tout le territoire, et qui intègre pleinement les familles au côté des équipes médicales;
- le droit d’accéder à une aide active à mourir pour celles et ceux qui auront fait ce choix en toute conscience et en toute liberté.